vendredi

'Shield of Europe': Greece fortifies border amid migrant crisis

Immigrαnts beaten by turkish special forces...-Έβρος: Τούρκοι στρατιώτες χτυπούν μετανάστη - Voria.gr

.if immigrants try to leave they are forced to return to the border Publié par coztjrs Envoyer par e-mail BlogThis! Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager sur Pinterest

EU border crisis: Turkey blocks refugees from re-entering the country | ...

Syrie – Un autre cessez-le-feu à Idlib – Erdogan perd sur tous les points


source Par Moon of Alabama viaLe Saker Francophone Syrie – Un autre cessez-le-feu à Idlib – Erdogan perd sur tous les points 2015-05-21_11h17_05Par Moon of Alabama − Le 5 mars 2020 Notre dernier article sur la Syrie se terminait ainsi : Erdogan veut Idlib, mais ni la Syrie, ni l'Iran, ni la Russie ne le lui permettront. Le président Poutine rencontrera Erdogan dans les prochains jours et s'assurera qu’il ait bien compris cela. Le président turc Tayyip Erdogan et le président russe Vladimir Poutine se sont rencontrés aujourd’hui à Moscou. Ils ont eu une conversation de presque 3h, entre quatre yeux, et une deuxième avec leurs assistants. Les parties ont convenu d’un nouveau cessez-le-feu dans le gouvernorat d’Idlib. Agrandir – Gouvernorat d’Idlib. 5 mars 2020 Les points convenus publiés jusqu’à présent sont les suivants : La cessation de toute action militaire le long de la ligne de contact dans la zone de désescalade d’Idlib à partir du 6 mars 2020 à 0h01 Un corridor de sécurité de 6 km de profondeur sera établi au nord et au sud de l’autoroute M4. Les ministères de la défense de la République turque et de la Fédération de Russie conviendront des paramètres spécifiques de fonctionnement du corridor de sécurité dans un délai de 7 jours. Le 15 mars 2020, des patrouilles conjointes turco-russes commenceront le long de l’autoroute M4 entre la colonie de Oo Trumba (2 km à l’ouest de Saraqib) et la colonie de Ain-Al-Hayr. Voici les première et deuxième parties du mémo. (Je pense qu’Ain-Al-Hayr se traduit également par Ain al Hawr, un endroit qui se trouve à l’extrémité occidentale du segment M4 qui est toujours sous contrôle djihadiste). L’objectif actuel de l’armée syrienne est donc largement atteint. Les autoroutes M4 et M5 seront libres de tout djihadisme et ouvertes à la circulation. Il est peu probable que ce cessez-le-feu tienne sur une longue période. Mais il apporte une pause utile à l’armée syrienne pour lui permettre de se remettre un peu et de prendre soin de ses hommes et de son matériel. Cela met également fin, pour l’instant, à la menace turque d’attaquer l’armée syrienne et de reconquérir toutes les zones qu’elle avait libérées au cours des derniers mois. Erdogan, qui avait formulé de nombreuses demandes, ne vit aucune d’entre elles satisfaite. L’accord lui coûtera des points politiques au sein de son parti. Ajout : Agrandir @Hevallo @Hevallo - 18:08 UTC - Mar 5, 2020 La meilleure chose pour moi concernant la réunion de Moscou entre Erdogan et Poutine a été l’attitude servile de la délégation turque devant Poutine, tout cela sous la statue de Catherine la Grande qui a vaincu les Turcs à plusieurs reprises au cours du XVIIIe siècle. Moon of Alabama Traduit par Wayan, relu par Jj pour le Saker Francophone

BREAKING! Putin Gives First Statement After Tough Talks With Erdogan Tha...

Le "niet" de Poutine à Erdogan!


Le "niet" de Poutine à Erdogan! Mar 05, 2020 Au sommet Poutine-Erdogan, l'heure n'était guère à la joie.... "La situation à Idlib s'est tellement aggravée que cela demande que nous ayons une conversation personnelle et directe", a déclaré le président russe Vladimir Poutine au début de la rencontre avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, cité par l'AFP. Poutine a exprimé ses condoléances pour la mort de soldats turcs en Syrie, où des dizaines de personnes ont été tuées ces dernières semaines alors qu'Ankara lançait pour la première fois une offensive directe contre les forces syriennes à Idlib. Mais il a également souligné que l'armée syrienne avait "malheureusement ... subi de graves pertes". "Nous devons parler de tout, afin que rien de tel ne se reproduise et ne détruise les relations russo-turques", a souligné M. Poutine. L’éditorialiste du journal Rai al-Youm y revient, affirmant que la reprise de Saraqib avait nettement changé la donne en faveur de la Syrie et de ses alliés lors de ce sommet : "en fait c’est une grande évolution militaire sur le terrain qui influe sur toutes les équations politiques et militaires. En effet, les groupes armés soutenus par la Turquie n’ont pu retenir Saraqib que pendant trois jours avant que l’armée syrienne ne s'en empare et ne rouvre les deux autoroutes reliant l’une Alep à Damas et l’autre, Alep à Lattaquié". Et l'auteur de poursuivre : "L’élément qui a changé la donne, était l’arrivée d’un millier de combattants du Hezbollah libanais à Saraqib et leur participation immédiate aux batailles. De ce point de vue, cette percée est tout à fait comparable à ce qui s’était passé en 2015 près de la frontière syro-libanaise, lorsque les forces du Hezbollah sont intervenues dans les combats à Qusseir (ouest de la Syrie). Des observateurs pensent que les combats auxquels participeront les forces du Hezbollah ne se limiteront pas à Saraqib. D’après certaines sources, la prochaine bataille des unités du Hezbollah libanais aura lieu face aux troupes turques et éléments radicaux soutenus par Ankara, surtout le Front al-Nosra », note Abdel Bari Atwan qui ajoute : "La reprise par l’armée syrienne de la ville stratégique de Saraqib est peut être le premier revers militaire et politique de l’opération turque dite Bouclier du printemps que le président Erdogan a entamée après l’expiration de l’ultimatum qu’il avait lancé à l’armée syrienne de se retirer de toutes les positions qu’elle contrôlait devant les points d’observation militaire turcs. Rappelons que Vladimir Poutine n’a pas accepté de recevoir Erdogan à Moscou avant que Saraqib ne soit libérée. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a même déclaré clairement que l'armée russe était la seule armée, se trouvant en Syrie, à la demande du gouvernement de Damas, tandis que la présence des autres pays en Syrie était contraire aux principes du droit international. « C’est la première chose que le président Poutine a évoqué jeudi à Moscou avec le président turc. Poutine a affirmé vouloir être sûr que plus aucun soldats russes ne périraient sous la balle turque, sinon "les liens Ankara-Moscou" en pâtiraient gravement. II s'agit d'une mise en garde très sévère qu'Ankara a tout intérêt à prendre au sérieux, à moins qu'il veuille prêter l'oreille aux recommencements US. La délégation américaine qui a débarqué mercredi à Idlib a laissé entendre que les Patriot pourraient être activé à condition que les S-400 russes livrés à la Turquie disparaissent" Mais le ministère russe de la Défense a déjà donné sa réponse : il a annoncé dimanche dernier dans un communiqué que la Russie ne pourrait plus garantir la sécurité des avions turcs en Syrie depuis que le gouvernement de Damas a décidé de fermer l’espace aérien du nord du pays. Cela signifie que les systèmes de défense aérienne russes et syriens pourront abattre tout avion turc qui pénétrerait dans cet espace aérien fermé. Mais Erdogan a-t-il véritablement compris le sens de ce message? au fait, comment peut-il espérer que la Russie qui a dépensé des milliards et perdu de nombreux soldats en Syrie pendant cinq ans, se retire de la scène pour qu’Ankara gagne son pari improbable à Idlib ? Erdogan est dans l'impasse à moins qu'il prenne la main tendue de Téhéran. Le sommet tripartite Iran-Syrie-Turquie dont le président iranien, Hassan Rohani, a proposé la tenue le plus vite possible, serait une bouée de sauvetage. Sinon, Idlib broiera Erdogan. », écrit Atwan./Reseau International-

Idlib: Erdogan trahit déjà Poutine


source Pars Today-Idlib: Erdogan trahit déjà Poutine Mar 06, 2020 La trêve déclarée par le président turc en Syrie a duré moins de vingt minutes. Bien que le président turc Recep Tayyip Erdogan ait promis à son homologue russe Vladimir Poutine d’instaurer un cessez-le-feu en Syrie à partir de minuit, à peine 18 minutes après le début de la trêve, des attaques d'artillerie ont été lancées sur la ville syrienne stratégiquement importante de Saraqeb. On ignore pour le moment si l'armée turque se trouvait dans la zone où ont eu lieu les attaques. Cependant, l'attaque de Saraqeb où sont déployées les unités militaires russes, montre que la Turquie n'a toujours pas l'intention de remplir ses obligations. Il est à préciser que les unités militaires russes ne permettent pas à l'armée turque de frapper la ville au détriment d'une réponse brutale de leur part. Ankara n'a pas encore commenté l'échec des accords d'Idlib, signés avec la Russie. Or, les experts estiment que la Turquie tentera à nouveau d’organiser des négociations avec la Russie dans les jours, voire les semaines, à venir. Dans la foulée, l’agence de presse turque Anadolu a annoncé la mort de 21 soldats de l’armée syrienne lors d’une attaque contre leur position. « En réaction à une attaque de l’armée syrienne contre une position de l’armée turque à Idlib qui a laissé deux morts dans les rangs des soldats turcs, un drone de l’armée a attaqué une position de l’armée syrienne: 21 militaires ont été tués. Des lance-roquettes et des canons de l’armée syrienne ont été détruits », a-t-on appris d’Anadolu citant le ministère turc de la Défense. Jeudi soir, le ministère turc de la Défense a annoncé la mort de deux soldats turc et trois blessés au cours des affrontements à Idlib. Par ailleurs, l’armée syrienne a repoussé une offensive d’envergure de terroristes pro-turcs contre l’autoroute M5, dans la province d’Idlib, reliant Damas, la capitale, à la ville d’Alep. En réaction aux attaques en série des terroristes sur l’autoroute M5 et dans les alentours de Saraqeb, l'unité d'artillerie de l’armée syrienne a lancé une contre-attaque. La situation à Idlib reste tendue depuis quelques temps en raison des agissements des terroristes pro-turcs et les interventions de l’armée d’Ankara.

jeudi

Putin and Erdogan talk to press after Idlib crisis meeting [STREAMED LIVE]

Pourquoi la conquête d’Idlib est-elle si importante ?

LIVE: Putin and Erdogan meet in Moscow (ENG)

Rencontre Poutine-Erdogan, Gérard Chaliand estime que « les Russes ne cé...

S/T GR- ENG>Turkey has syst...Η Τουρκία συστηματικά βοήθησε χιλιάδες πρόσφυγες και μετανάστες να εισέλ...

Λαθρομετανάστης βρίζει την Ελλάδα και ζητάει ν’ανοίξουν τα σύνορα στον Έβρο

The Borders of Europe are Safe .

Turkish proxy war to Greece with illegal immigrants .

Greece DEFENDS the Borders of EUROPE!!!

L'EUROPE VIT UNE TENTATIVE D'INVASION !

Essais: Les empires des steppes alimentent les rêves de Er...

Essais: Les empires des steppes alimentent les rêves de Er...: Les empires des steppes alimentent les rêves de Erdogan Khan PARTAGER SUR:FacebookTwitter Linked InEmail /5 mars 2020/ par Pepe Escobar. ...

Olivier Delorme et Mezri Haddad reviennent sur les tensions turco-syrien...

apoθεosις: TURKEY- Empires of the steppes fuel Erdogan Khan’s...

apoθεosις: TURKEY- Empires of the steppes fuel Erdogan Khan’s...: By PEPE ESCOBAR MARCH 4, 2020 Refugees wait Saturday to cross the border between Turkey and Greece near the Pazarkule border post, in Turk...

Moscou dénonce la duplicité de Erdogan : « À Idlib, les forces turques ‘fusionnent’ avec les terroristes »


A Idlib, la Turquie a permis que ses postes d’observation en territoire syrien, mis en place dans le cadre d’un accord avec Moscou en 2018, fusionnent avec les bases terroristes, a déclaré le ministère russe de la Défense, au moment où une attaque turque vise à entraver l’avancée des forces syriennes. « Les zones fortifiées des terroristes ont fusionné avec les postes d’observation turcs déployés dans le cadre de l’accord de Sotchi en 2018 », a déclaré mercredi le porte-parole du ministère russe de la Défense, le Général de division Igor Konashenkov. « Les attaques et les tirs d’artillerie massifs contre les zones civiles voisines et la base aérienne russe de Khmeimim, jadis sporadiques, sont devenues quotidiennes », a-t-il ajouté. L’Europe et les États-Unis ont constamment ignoré le non-respect par la Turquie de l’accord de 2018, a poursuivi le porte-parole, affirmant que ni l’une ni l’autre ne se « soucient de la situation humanitaire réelle à l’intérieur et autour d’Idlib ». « Toutes les demandes officielles de la Russie à l’ONU et aux pays occidentaux (qui ont acheminé de l’aide humanitaire à travers la frontière turque, mais dont la totalité n’est pas allée aux réfugiés, mais aux terroristes) sont restées sans réponse. Tout ce que nous avons entendu, ce sont les lamentations sur la nécessité de ‘préserver à tout prix les accords de Sotchi’ », a souligné Konashenkov. Malgré leurs attaques répétées contre des civils et leurs liens clairs avec des groupes terroristes connus, les médias occidentaux ont transformé les factions armées d’Idlib en soi-disant « modérés », a déclaré le porte-parole. « Où se trouvait [Abu Mohammad] al-Julani (le chef du Front al-Nusra, un groupe terroriste officiellement désigné comme tel par l’ONU) avec ses près de 20 000 coupeurs de gorge ? » a-t-il demandé. « En un claquement de doigts, tous les terroristes d’Idlib sont devenus les soi-disant ‘représentants de l’opposition modérée’ dans les médias occidentaux. Cependant, on ne comprend pas bien comment le chef de Daech al-Baghdadi a récemment pu être ‘localisé’ et tué, à en croire les États-Unis, en plein milieu de tous ces ‘modérés’ », a poursuivi Konashenkov. Les attaques en cours d’Ankara contre l’armée syrienne alors qu’elle progresse contre les groupes terroristes équivalent à une « violation du droit international », mais passent pourtant totalement « inaperçues par qui que ce soit en Occident », a déclaré Konashenkov, malgré l’engagement déclaré des capitales occidentales en faveur d’un « ordre mondial régi par le droit ». Ces propos interviennent au milieu des hostilités entre la Turquie et la Syrie autour d’Idlib, qui se sont intensifiées le mois dernier. La Turquie a envoyé des milliers de soldats à travers la frontière syro-turque dans le but de repousser les forces gouvernementales syriennes hors de la province. Idlib est le dernier grand bastion des groupes armés antigouvernementaux en Syrie. La Turquie était censée utiliser l’influence qu’elle exerce sur certains des groupes pour réprimer les djihadistes, qui sont déterminés à continuer les combats, et à garantir un cessez-le-feu durable. Dans la pratique, les attaques terroristes contre les civils et l’armée syrienne autour d’Idlib se sont poursuivies, et fin 2019, les forces de Damas ont lancé l’offensive, libérant de vastes étendues de terres dans le sud de la province. Damas a longtemps accusé la Turquie de jeu déloyal, affirmant qu’Ankara alimentait la violence contre les soldats et les civils syriens plutôt que de la juguler. Source : RT Traduction : lecridespeuples.fr

lundi

Ask The Mountains - Vangelis

Almost 10,000 migrants ‘stopped at Greek border’, but some have managed to slip through


Almost 10,000 migrants ‘stopped at Greek border’, but some have managed to slip through (VIDEO) 1 Mar, 2020 11:15 / Updated 1 day ago Get short URL 1361 Follow RT onRT The Greek government said almost 10,000 people were prevented from crossing into the country from Turkey on Saturday. Though stopped at the gate, the migrants are attempting to cut through the border fence or cross the river. Thousands of people in Turkey rushed to the border with Greece after the government in Ankara announced this week that it will no longer stop them. Athens responded by closing the border crossing and deploying riot police and soldiers to halt the wave. Around 9,600 attempts were made to cross the border on Saturday alone, Greek Deputy Defense minister Alkiviadis Stefanis told the media. The UN’s International Organization for Migration estimated that as many as 13,000 people flocked to the border area in Turkey’s Edirne province. ALSO ON RT.COM Doors SHUT: Greek police stop wave of refugees with closed border gates & tear gas (VIDEOS) Turkish officials have a different perception of what is happening on the border. Interior Minister Suleyman Soylu tweeted that, as of Sunday morning, 76,358 people “have left Turkish borders through Edirne for Europe since Friday”. This figure marked a significant increase from the 47,113 he cited on Saturday evening. Regardless of statements from either side, reports on the ground show that some at least have managed to find their way beyond the fence, which was erected several years ago by Greece along the land portion of the border in the wake of the migrant crisis. The barbed wire barrier is somewhat difficult to pass through even with the help of cutting tools, but there is no shortage of people willing to make the attempt. Others try their luck at the Evros river, which makes up the bigger part of the Turkish-Greek border. Greek patrols are on the lookout for trespassers. Ankara opened the floodgates of asylum seekers on Europe amid an escalation of hostilities in Syria’s Idlib province. Turkey said it faced a new influx of “millions” of refugees from Syria and was no longer able to contain them, especially since the EU “failed” on its commitments under the deal it sealed with Turkey to curb the migrant crisis almost four years ago.

Guy Verhofstadt : "I warned that.."


Guy Verhofstadt ✔ @guyverhofstadt In march 2016, one week before the migration deal with Turkey was formalized in the European Council, I warned that we were giving the keys of Europe to Sultan Erdogan. Today Greece suffers the consequences; tomorrow the rest of the Union. Embedded video 3,159 3:39 PM - Mar 1, 2020 Twitter Ads info and privacy

Σημαφορα...Semaphore...: Greece blocks thousands of migrants trying to ente...

Σημαφορα...Semaphore...: Greece blocks thousands of migrants trying to ente...

Turkey: Tear gas fired to push migrants away from Greece border | AFP

Migrants at the Turkish border attempt to cross over into Greece | AFP

Σημαφορα...Semaphore...: Stand-off between 4,000 migrants and Greek border ...

Σημαφορα...Semaphore...: Stand-off between 4,000 migrants and Greek border ...

L’Iran et le Hezbollah avertissent la Turquie : toutes vos forces sont dans notre ligne de mire


LE CRI DES PEUPLES - L’Iran et le Hezbollah avertissent la Turquie : toutes vos forces sont dans notre ligne de mire PARTAGER SUR:FacebookTwitter Linked InEmail Centre consultatif iranien en Syrie : nous appelons les forces turques à agir de manière rationnelle dans l’intérêt des peuples syrien et turc. Le Centre consultatif iranien en Syrie, qui participe aux combats dans le nord de la Syrie, a diffusé via l’agence de presse U-News un communiqué en réaction à la récente confrontation entre l’armée syrienne et l’armée turque. Il est à noter que le Centre consultatif iranien est composé du groupe d’experts iraniens qui conseillent l’État syrien et ses forces armées, et que c’est la première déclaration qu’il publie depuis le début de la guerre en Syrie. Texte intégral de la déclaration En réaction à la confrontation entre l’armée arabe syrienne et l’armée turque il y a quelques jours, il est important pour nous d’informer l’opinion publique de ce qui suit : Premièrement : Nous avons combattu aux côtés de l’armée arabe syrienne et nous l’avons soutenue, à la demande de l’État syrien, pour ouvrir la route M5, avec une force syrienne dirigée par des éléments des Gardiens de la Révolution iraniens et du Hezbollah, et avec la participation de factions de la Résistance au sein de la force ; et nous avons aidé les civils et les habitants des villages libérés après leur libération. Deuxièmement : Protégés par l’armée turque, les groupes (terroristes) armés ont attaqué les positions de l’armée syrienne, et nous avons donc participé aux combats visant à empêcher à nouveau la chute de la route M5 entre leurs mains. Troisièmement : Depuis le début de la présence de nos forces, les positions turques situées dans les territoires syriens étaient dans la ligne de mire de nos forces, qu’elles soient conformes aux accords d’Astana ou en violation de ceux-ci, mais les éléments de la Résistance n’ont pas attaqué ces forces turques par déférence à la décision de leurs dirigeants (respectifs), et cette décision reste en vigueur jusqu’à présent. Quatrièmement : Il y a quatre jours, des éléments étrangers, des Tadjiks du Parti du Turkestan, des éléments du Front Al-Nosra, ainsi que d’autres factions terroristes, ont mené une attaque à grande échelle contre les positions de l’armée syrienne. Nos forces ont donc directement soutenu l’armée syrienne pour empêcher les zones libérées de retomber entre leurs mains. Cinquièmement : Malgré le caractère défensif de l’action de nos forces, l’armée turque a ciblé nos éléments et nos forces depuis les airs, avec des missiles de précision et un soutien de l’artillerie, ce qui nous a incités à envoyer des médiateurs à l’armée turque pour qu’elle mette fin à ses attaques et renonce à cette approche Sixièmement : Nos médiateurs ont annoncé à l’armée turque que les terroristes ont attaqué nos positions avec leur soutien, que nos forces sont là pour affronter les terroristes, et que nous sommes aux côtés de l’armée syrienne pour cette mission ; mais malheureusement, l’armée turque n’a pas tenu compte de cette demande et a continué ses bombardements, et un certain nombre de nos combattants (iraniens & du Hezbollah) sont tombés martyrs. Septièmement : L’artillerie de l’armée syrienne a riposté en frappant la sources des tirs ; pour notre part, nous n’avons pas riposté directement, et encore une fois, nous avons annoncé à l’armée turque par le biais de médiateurs que nous n’avons aucun objectif ou décision d’affronter l’armée turque et que notre direction est déterminée à parvenir à une solution politique entre la Syrie et la Turquie. Huitièmement : Nous avons informé nos forces depuis le matin de ne pas viser les forces turques à l’intérieur d’Idlib afin de préserver la vie de leurs soldats, et nos forces n’ont pas ouvert le feu, mais l’armée turque continue de bombarder par des tirs d’artillerie les points et emplacements de l’armée syrienne (où nous nous trouvons). Neuvièmement : Le Centre consultatif iranien et les combattants du front de la Résistance appellent les forces turques à agir de manière rationnelle dans l’intérêt des peuples syrien et turc, rappelant au peuple turc que leurs fils (soldats) sont depuis un mois dans notre ligne de mire et que nous aurions pu nous venger, mais nous ne l’avons pas fait conformément aux ordres de notre direction ; nous les appelons à faire pression sur la direction turque pour qu’elle rectifie ses décisions et évite de faire couler le sang des soldats turcs. Dixièmement : Malgré les circonstances difficiles actuelles, nous réaffirmons notre position continue aux côtés du peuple, de l’État et de l’armée en Syrie dans leur combat pour vaincre le terrorisme et préserver leur pleine souveraineté sur les territoires syriens, et nous appelons tous les acteurs à être rationnels et conscients des grands risques de poursuivre l’agression contre la Syrie. Date: 1 mars 2020 Author: lecridespeuples 0 Commentaires Centre consultatif iranien en Syrie : nous appelons les forces turques à agir de manière rationnelle dans l’intérêt des peuples syrien et turc Source : Al-Manar, le 29 février 2020 Traduction : lecridespeuples.fr Le Centre consultatif iranien en Syrie, qui participe aux combats dans le nord de la Syrie, a diffusé via l’agence de presse U-News un communiqué en réaction à la récente confrontation entre l’armée syrienne et l’armée turque. Il est à noter que le Centre consultatif iranien est composé du groupe d’experts iraniens qui conseillent l’État syrien et ses forces armées, et que c’est la première déclaration qu’il publie depuis le début de la guerre en Syrie. Texte intégral de la déclaration En réaction à la confrontation entre l’armée arabe syrienne et l’armée turque il y a quelques jours, il est important pour nous d’informer l’opinion publique de ce qui suit : Premièrement : Nous avons combattu aux côtés de l’armée arabe syrienne et nous l’avons soutenue, à la demande de l’État syrien, pour ouvrir la route M5, avec une force syrienne dirigée par des éléments des Gardiens de la Révolution iraniens et du Hezbollah, et avec la participation de factions de la Résistance au sein de la force ; et nous avons aidé les civils et les habitants des villages libérés après leur libération. Deuxièmement : Protégés par l’armée turque, les groupes (terroristes) armés ont attaqué les positions de l’armée syrienne, et nous avons donc participé aux combats visant à empêcher à nouveau la chute de la route M5 entre leurs mains. Troisièmement : Depuis le début de la présence de nos forces, les positions turques situées dans les territoires syriens étaient dans la ligne de mire de nos forces, qu’elles soient conformes aux accords d’Astana ou en violation de ceux-ci, mais les éléments de la Résistance n’ont pas attaqué ces forces turques par déférence à la décision de leurs dirigeants (respectifs), et cette décision reste en vigueur jusqu’à présent. Quatrièmement : Il y a quatre jours, des éléments étrangers, des Tadjiks du Parti du Turkestan, des éléments du Front Al-Nosra, ainsi que d’autres factions terroristes, ont mené une attaque à grande échelle contre les positions de l’armée syrienne. Nos forces ont donc directement soutenu l’armée syrienne pour empêcher les zones libérées de retomber entre leurs mains. Cinquièmement : Malgré le caractère défensif de l’action de nos forces, l’armée turque a ciblé nos éléments et nos forces depuis les airs, avec des missiles de précision et un soutien de l’artillerie, ce qui nous a incités à envoyer des médiateurs à l’armée turque pour qu’elle mette fin à ses attaques et renonce à cette approche Sixièmement : Nos médiateurs ont annoncé à l’armée turque que les terroristes ont attaqué nos positions avec leur soutien, que nos forces sont là pour affronter les terroristes, et que nous sommes aux côtés de l’armée syrienne pour cette mission ; mais malheureusement, l’armée turque n’a pas tenu compte de cette demande et a continué ses bombardements, et un certain nombre de nos combattants (iraniens & du Hezbollah) sont tombés martyrs. Septièmement : L’artillerie de l’armée syrienne a riposté en frappant la sources des tirs ; pour notre part, nous n’avons pas riposté directement, et encore une fois, nous avons annoncé à l’armée turque par le biais de médiateurs que nous n’avons aucun objectif ou décision d’affronter l’armée turque et que notre direction est déterminée à parvenir à une solution politique entre la Syrie et la Turquie. Huitièmement : Nous avons informé nos forces depuis le matin de ne pas viser les forces turques à l’intérieur d’Idlib afin de préserver la vie de leurs soldats, et nos forces n’ont pas ouvert le feu, mais l’armée turque continue de bombarder par des tirs d’artillerie les points et emplacements de l’armée syrienne (où nous nous trouvons). Neuvièmement : Le Centre consultatif iranien et les combattants du front de la Résistance appellent les forces turques à agir de manière rationnelle dans l’intérêt des peuples syrien et turc, rappelant au peuple turc que leurs fils (soldats) sont depuis un mois dans notre ligne de mire et que nous aurions pu nous venger, mais nous ne l’avons pas fait conformément aux ordres de notre direction ; nous les appelons à faire pression sur la direction turque pour qu’elle rectifie ses décisions et évite de faire couler le sang des soldats turcs. Dixièmement : Malgré les circonstances difficiles actuelles, nous réaffirmons notre position continue aux côtés du peuple, de l’État et de l’armée en Syrie dans leur combat pour vaincre le terrorisme et préserver leur pleine souveraineté sur les territoires syriens, et nous appelons tous les acteurs à être rationnels et conscients des grands risques de poursuivre l’agression contre la Syrie. Centre consultatif iranien en Syrie Pour soutenir ce travail censuré en permanence et ne manquer aucune publication, partagez cet article et abonnez-vous à la Newsletter. Vous pouvez également nous suivre sur Facebook et Twitter. Share this: Centre consultatif iranien en Syrie source : http://almanar.com.lb/6345462 via https://lecridespeuples.fr/2020/03/01/liran-et-le-hezbollah-avertissent-la-turquie-toutes-vos-forces-sont-dans-notre-ligne-de-mire/

dimanche

L’Iran lance un ultimatum à la Turquie en menaçant d’une puissante frappe de missiles


L’Iran a exigé qu’Erdogan quitte la Syrie en menaçant d’une frappe massive de missiles. Dans le contexte d’une opération militaire à grande échelle de l’armée turque en Syrie, le fonctionnaire de Téhéran a exigé que la Turquie cesse immédiatement de frapper l’armée syrienne, menaçant de lancer une attaque au missile à grande échelle contre des militants et l’armée turque sans avertissement. La déclaration de l’Iran est principalement due à l’absence de réaction à l’attaque turque de la Russie. « L’Iran a officiellement annoncé sa volonté de se venger si la Turquie n’arrête pas de frapper des cibles iraniennes en Syrie. PS Téhéran – pas Damas, ne le tolérera pas et n’écoutera pas Moscou » – rapporte « Telegram » communauté « Observateur militaire ». Il convient de préciser que l’Iran peut vraiment frapper des militants et l’armée turque, y compris avec l’utilisation de missiles balistiques, dont l’efficacité a été prouvée lors de l’attaque des bases militaires américaines en Irak. Au cours de la nuit dernière, la Turquie a lancé plusieurs dizaines de frappes aériennes et de missiles sur le territoire syrien, tandis que l’armée syrienne a réussi à faire tomber au moins 4 véhicules aériens sans pilote, cependant, malgré l’ouverture du feu sur des combattants turcs, ce dernier n’a pas pu être touché. Moscou a officiellement commenté la situation de l’opération militaire à grande échelle de la Turquie en Syrie, cependant, au cours des dernières XNUMX heures, l’aide de la Russie en Syrie a été réduite au minimum, en particulier, nous parlons d’une réduction significative des sorties d’avions russes. source : http://avia-pro.fr/news/iran-postavil-turcii-ultimatum-po-sirii-prigroziv-moshchnym-raketnym-udarom

Greece blocks thousands of migrants trying to enter from Turkey

apoθεosις: Turkey using refugees to threaten Europe

apoθεosις: Turkey using refugees to threaten Europe

Greece: Heavy police presence at Turkish border as migrants and refugees...